Je viens de terminer mon cours annuel, en compagnie de Florent Ciecka, pour nos remarquables étudiants du Master 2 Market & Investment Banking de Dauphine.Je me suis notamment attaché à leur faire valoir l’importance de l’intelligence émotionnelle ❤️ dans la Relation Client.

‘’C’est un super manager, mais il / elle ne fait pas rêver, il/elle manque de charisme…’’ Vous avez déjà entendu cette phrase. D’où la question : le Leadership d’un manager peut-il aller sans charisme ?

Il n’est pas facile de répondre à la question. Pour ce faire, je suggère volontiers d’utiliser 4 critères très simples…

J’ai écrit à plusieurs reprises sur la crise professionnelle de la quarantaine professionnelle   (https://lnkd.in/eJzbjxiN ) qui est, d’ailleurs, bien documentée.

Et les trentenaires?

C’est une qualité dont on ne parle pas trop. Pourtant, sans courage, comment manager?

Elle est, en effet, spontanément présentée comme un des attributs du Leadership. Elle est au cœur de la notion de ‘’servant leadership’’.

Je suis toujours étonné de voir des dirigeants brillants m’avouer qu’ils souffrent d’ un sentiment d’imposture.

C’est une tendance en cours et le propre de tout marché arrivé à maturité. C’est une demande des clients.

Le post que j’ai écrit récemment sur le sujet a eu un écho qui m’a surpris.

Je l’ai remarqué. Souvent l’idée de réseau n’est pas bien perçue. Comme si cela était ‘’politique’’, une atteinte à l’idéal méritocratique. A tort, d’autant que l’on ne réussit jamais seul.

La ‘’fenêtre de Johari’’ est un outil qui fournit une bonne illustration de notre Personnalité au travail et de la manière dont nous communiquons avec les autres.

Le Mentoring s’est développé dans les entreprises, mais beaucoup moins qu’outre-Atlantique. C’est un instrument d’accompagnement très efficace, comme l’est le coaching. Quelle est la différence?

Oui, cela été d’ailleurs mon cas. Oui, heureusement, car on considère que les hypersensibles, catégorie mise en exergue au début des années 90 par la psychologue américaine Elaine Aron, représenteraient environ 20 à 30 % de la population, soit au moins une personne sur 4 !

J’ai du mal avec cette rituelle référence à l’étymologie du mot travail qui voudrait le faire provenir du latin tripalium, instrument de torture à trois pieds.

Le coaching individuel en entreprise est bien connu. Le coaching d’équipe, lui, l’est moins. C’est le même esprit mais les techniques en sont assez différentes.

C’est un thème récurrent. de coaching. La confiance, c’est compliqué. Ce n’est pas le fort de la culture, et de la société française qualifiée, de longue date, comme une ‘’société de défiance’’

Les banques d’investissement et la Finance ont usé (abusé) de la carotte du bonus, héritée des salles des marchés, pour motiver leurs troupes.

Et ça marche, comme en témoigne la frénésie qui entoure le B(onus)day.

C’est le titre d’un stimulant ouvrage de mon amie Catherine Fabri aux éditions Mardaga. L’art du questionnement, la maïeutique chère à Socrate, c’est l’essence même du coaching.

C’est une question que l’on m’a souvent posé.

Tout dépend ce que l’on entend par gentillesse et réussite professionnelle. Réussir sa carrière ou réussir sa vie ?

C’est l’art de faire travailler ensemble des gens qui ne se ressemblent pas.

Les grands groupes sont confrontés au défi du management interculturel, facteur de compétitivité et dimension importante de la ‘’diversité’’.